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sourire67

7 septembre 2015

Méthode MIR

En lisant le dernier numéro du magazine HAPPINEZ, j'ai découvert la méthode MIR. De quoi s'agit-il ? De mettre en place des circuits neuronaux positifs qui permettent, grâce à 9 affirmations très simples, de programmer une santé parfaite et une vie harmonieuse et épanouissante. La méthode, même si je n'ai pas eu le temps de la tester, me paraît fort intéressante. 

Je vous laisse découvrir la petite vidéo ci-dessous 

 

Introduction de la Méthode MIR par Mireille Mettes Français

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7 septembre 2015

Le Jeu de la Vie

Envie de partager avec vous une de mes lectures de vacances. C'est un petit bouquin d'une richesse incroyable

le Jeu de la Vie

qui se lit en quelques heures 

3 août 2015

Dictionnaire des rêves

le site doctissimo  propose un dictionnaire des rêves très intéressant 

voici le lien : http://www.doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire-des-reves

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7 juillet 2015

Avez-vous parfois l’impression que la vie ne vous

Avez-vous parfois l’impression que la vie ne vous entend pas, ou encore qu’elle vous répond n’importe comment? Peut-être faites-vous des pieds et des mains afin d’atteindre un certain but, avec une intention claire et précise, pour vous buter constamment à une sorte de mur invisible?

On sent tous intuitivement que l’on est fait de poussière d’étoiles, que l’on est connecté à l’énergie qui crée les mondes. C’est inné… quoi qu’on en pense intellectuellement, rien ne pourrait nous convaincre du contraire. Il est donc toujours troublant quand les choses ne vont pas comme on le voudrait – quand nos demandes ne semblent pas être «entendues». Cela nous donne l’impression que la vie ne nous aime pas, que l’univers nous ignore. Et qu’on le réalise ou non, ce sentiment nous affecte généralement bien plus encore que le fait de ne pas avoir ce que l’on veut.

Il y a une raison pour laquelle la vie ne nous répond pas. Ou plutôt : il y a une raison pour laquelle elle semble ne pas nous répondre, parfois. C’est une nuance tellement cruciale, je soulignerais ce qui suit avec un gros marqueur jaune si je le pouvais (en fait, peut-être que je le peux… Voyons voir). C’est que la vie n’écoute pas le langage que l’on parle en surface, mais celui que l’on parle à un niveau beaucoup plus profond. Elle écoute des choses que l’on affirme et demande, sans même le réaliser, un langage que l’on parle «derrière» le langage que l’on a l’impression de parler.

Imaginons que l’on est très généreux envers l’homme ou la femme que l’on fréquente. Notre intention est de vivre une belle union. Notre vision est d’aimer et d’être aimé abondamment. Nos actions sont remplies d’affection. Tout est parfait, n’est-ce pas? Mais imaginons maintenant que notre générosité s’appuie sur la croyance que l’on n’est pas digne d’amour tel que l’on est, et que l’on doit donc en faire beaucoup pour compenser. Soudainement, tout est complètement différent. On s’attendra probablement à ce que la vie entende notre générosité, ou notre intention d’avoir une belle relation. Mais elle entendra d’abord et avant tout la prémisse sur laquelle tout cela s’appuie – c’est-à-dire, l’idée que l’on n’est pas assez. Ainsi, les probabilités sont très élevées que l’amour nous glisse constamment des doigts, d’une façon ou d’une autre… ce qui confirmera ce que l’on pense de nous, bien sûr. Et si on était effectivement aimé profondément en retour, on se dirait que l’autre personne nous aime seulement à cause de notre générosité – non pas parce qu’on est magnifique tel que l’on est.

Prenons un autre exemple. Imaginons que l’on se sent très petit et que l’on décide de bâtir une grosse entreprise lucrative pour prouver que l’on est grand et capable. On peut avoir le même projet pour plusieurs raisons très différentes, bien sûr, mais imaginons ici que notre désir prend racine dans un sentiment d’infériorité. Quel sera le résultat? Encore une fois, il sera probablement très difficile d’atteindre notre but, même si on donne tout ce que l’on a. Ce sera comme si une force invisible nous empêchait d’avancer, et chaque petit échec que l’on vivra nourrira le sentiment de petitesse dont on voulait tant se libérer. Oh, et même si on réussissait malgré tout (car il y a, bien sûr, toujours plus d’une croyance qui entre en jeu; je «sursimplifie» un peu les choses, ici…), on ne se sentira qu’encore plus petit dans notre grosse entreprise et notre grosse demeure. Cela ne peut faire autrement. Le sentiment de petitesse est la fondation sur laquelle toute notre démarche s’appuie.

La vie nous écoute. Mais elle n’écoute pas ce que nous disons, ou même ce que nous affirmons, ou même ce que nous croyons en surface. Elle écoute l’énergie derrière – la prémisse sur laquelle nos désirs et nos actions reposent. On dit souvent que la pensée est puissante. Et elle l’est, effectivement. Mais ce qui l’est encore davantage est la pensée derrière la pensée – la pensée-maîtresse, si vous voulez. Notre intention peut être magnifique, nos actions peuvent être parfaites… mais si la pensée-maîtresse est toxique, elle contaminera tout le reste. C’est un peu comme essayer de bâtir un château sur un dépotoir.

Tout cela est facile à observer sur le plan psychologique (si une personne ne se sent pas digne d’être aimée, par exemple, c’est sûr que les autres auront tendance à le sentir, à la croire, et souvent à agir en conséquence), mais il s’agit d’abord et avant tout d’un phénomène énergétique qui se produit sur la toile de fond de la vie – à ce niveau ultra fondamental sur lequel tout le reste se tisse.

Ainsi, chaque fois que l’on met de l’argent de côté sur la prémisse que l’on n’est pas le type de personne qui peut ou pourra avoir un revenu important, on cultive cette réalité; chaque fois que l’on prend des suppléments alimentaires sur la prémisse que l’on est fragile et vulnérable, on nourrit la fragilité. Et si notre démarche spirituelle s’appuie sur la prémisse que l’on n’est pas O.K. tel que l’on est, notre spiritualité deviendra ironiquement l’outil de notre ego, et elle nourrira notre sentiment de ne jamais être assez évolué.

C’est gros, n’est-ce pas?

Il n’est certainement pas question ici de ne pas mettre d’argent de côté, de ne pas prendre de suppléments, de ne pas être très généreux envers les autres, et de ne jamais bâtir une grosse entreprise. J’espère que c’est évident. On parle d’être présent à l’énergie qui nous habite au moins autant qu’on l’est à nos désirs, à nos intentions et nos actions, tout simplement – car elle parle plus fort que toutes les autres considérations réunies. On aimerait tant que le monde extérieur puisse nous donner la paix et la sécurité tant désirées… mais la seule chose qu’il peut faire est de nous suivre là où on décide d’aller. Il ne peut pas changer notre état profond – à moins, bien sûr, qu’on ait fait le premier pas –, il ne peut que nous le refléter et l’amplifier.

Ainsi, chaque fois que l’on sent une contraction, ou une petitesse, ou un vide, c’est une invitation à entrer en soi et à se détacher graduellement de la pensée-maîtresse qui est à l’origine de notre état. Passer par l’intérieur, ainsi, n’est certainement pas toujours facile… Mais c’est vraiment la seule option, la seule véritable forme de transformation.

C’est donc ce que je vous propose aujourd’hui. Entrez en vous. Quelles que soient les apparences présentement, prenez contact avec l’être majestueux, étincelant de santé et de prospérité, que vous êtes profondément. Puis agissez, parlez, créez à partir de cet espace rempli et vibrant – cet espace de vérité. Faites-en votre nouveau langage, la nouvelle prémisse sur laquelle vous vous appuyez. Et rapidement, vous verrez que la vie vous répondra avec une ardeur et une générosité que vous ne pourriez même pas imaginer.

Marie-Pier Charon 

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6 juillet 2015

OPTIMISME

L'optimisme est un art et comme tout art, il se cultive, s'entretient et se nourrit.

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6 juillet 2015

LOVE FOR NO REASON : 7 steps to creating a live of unconditional love

version KINDLE

love for no reason

6 juillet 2015

Positive attitude : la technique des 21 jours

  • Pour saper le moral et briser notre bel élan vital, il n'y pas mieux que les petites phrases du type : "je suis fatigué", "je suis pas bien", "je suis nulle", "je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit", "j'ai mal partout", etc... 
  • Repérer bien celle qui revient le plus souvent
  • Puis montez la garde ! Chaque fois que vous serez sur le point de la prononcer, serrez le poing de la main droite et dite "stop". Prenez une grande inspiration
  • Sur l'expiration, par la bouche, expirez cette pensée très loin de vous
  • Entraînez-vous à la remplacer par le geste STOP et dites mentalement "juste une expiration", comme un mantra, pour vous brancher sur les ondes du bien-être. 

Vous pourrez procéder de la même manière pour toutes les plaintes qui apparaissent. Au début soyez très vigilents, l'entraînement doit être constant. L'exercice est vraiment probant au bout de 21 jours, temps qu'il faut pour programmer votre mental à un nouveau conditionnement 

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6 juillet 2015

Un retour à l'amour

williamson

6 juillet 2015

FEMINITUDE : une exploration des mystères de l'être intérieur (tarot)

féminitude

6 juillet 2015

Pratique d'amour et de compassion proposée par le Dalaï Lama

A un petit groupe qui lui demandait quelle pouvait être la pratique la plus simple pour développer l'amour et la compassion dans le monde, le Dalaï Lama a suggéré les 4 points suivants : 

1. Passer 5 mn chaque matin à se rappeler que nous souhaitons tous la même chose : être heureux et être aimé, et que nous       sommes tous liés les uns aux autres. 


2.Passer 5 mn à respirer...

  • en prenant soin de soi avec amour en inspirant,
  • en prenant soin des autres avec amour en expirant.

3. Progressivement, cette pratique doit être étendue à ceux que l'on a quelques difficultés à aimer. 

    Dans la journée, étendre cette attitude à tous les gens que l'on rencontre. Faire preuve d'un amour attentionné vis-à-vis         des  personnes les plus "simples", aussi bien que des "plus importante" de notre vie, ceux que l'on aime et ceux que l'on       déteste.

4. Poursuivre cette pratique quoi qu'il advienne et quoi que l'on vous fasse. 

 

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